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La Commission régionale des droits de l’Homme de Casablanca-Settat tient sa réunion

La Commission régionale des droits de l’Homme de Casablanca-Settat tiendra une réunion les 17 et 18 mars 2012 à Casablanca.

L’objectif de cette réunion, qui sera présidée par Mme Soumicha Riyaha, présidente de la Commission de Casablanca-Settat, est de déterminer les axes stratégiques qui encadreront les actions de la Commission en matière de protection et de promotion des droits de l’Homme et de discuter de la meilleure manière de traduire dans la réalité, selon une approche participative reflétant les visions des différents membres, les prérogatives de la commission régionale des droits de l’Homme.

Conformément au règlement intérieur du Conseil national des droits de l’Homme, les commissions régionales des droits de l’Homme tiennent quatre sessions ordinaires par an, sur la base d’un ordre du jour arrêté à l’initiative de son (sa) président(e). Elles peuvent également tenir des sessions extraordinaires, sur la base d’un ordre du jour établi, à l’initiative de son président(e).

De même, sont crées au sein des commissions régionales des commissions thématiques en matière de protection des droits de l’Homme, de promotion des droits de l’Homme et d’enrichissement du débat et du dialogue en matière de construction démocratique et de droits de l’Homme.

Outre son président et le représentant régional de l’institution du Médiateur, chaque commission régionale des droits de l’Homme est composée de membres proposés par les corps représentatifs régionaux des magistrats, des avocats, des médecins, des oulémas et des journalistes professionnels et des représentants des associations et des observatoires régionaux des droits de l’Homme, et des personnalités actives dans le domaine de la protection et la promotion des droits de l’Homme, que ce soit les droits politiques, civils, économiques, sociaux et culturels, environnementaux ou les droits de la femme, de l’enfant et des personnes en situation de handicap et des consommateurs.

Il est à rappeler que la commission des droits de l’Homme de Casablanca-Settat a été officiellement installée le 17 janvier 2012 en présence du président du Conseil, M. Driss El Yazami. En plus de la composition de la commission et d’installer ses membres, cette rencontre sera marquée par la présentation d’un exposé sur les missions et les prérogatives des commissions régionales des droits de l’Homme telles que prévues dans le dahir portant création du Conseil.
Ces commissions assurent, conformément à l’article 28 dudit dahir, les missions de suivi et de contrôle de la situation des droits de l’Homme au niveau régional et reçoivent les plaintes relatives aux allégations de violations des droits de l’Homme. Elles assurent également, en vertu du même dahir, la mise en œuvre des programmes et des projets du CNDH en matière de promotion des droits de l’Homme de l’Homme, et ce, en étroite collaboration avec tous les acteurs concernés au niveau de la région (art 30).

La séance d’ouverture de cette session aura lieu le samedi 17 mars à l’hôtel Riad Salam à Casablanca à partir de 9h avant que les travaux ne se poursuivent à huis clos.

Récapitulatif :

Activité : réunion de la Commission régionale des droits de l’Homme de Casablanca-Settat

Lieu : l’hôtel Riad Salam à Casablanca

Date et heure :
le samedi 17 mars 2012 à partir de 9h

Contact : département information communication, tel/05 37 2973 23, 06 62 76 23 44

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Présentation de ‘l’étude comparative sur les expériences internationales dans le domaine de l’institutionnalisation de la lutte contre la discrimination’

Le Conseil national des droits de l’Homme organise, le lundi 12 mars 2012 à son siège à Rabat, une réception  pour la présentation de ‘l’étude comparative sur les expériences internationales dans le domaine de l’institutionnalisation de la lutte contre la discrimination’, dans la perspective de la mise en place de l’«Autorité pour la parité et la lutte contre toutes les formes de discrimination » prévue par la nouvelle constitution.
 

Cette étude s’inscrit en droite ligne des prérogatives du Conseil qui veille à préparer les conditions d’un débat national sur la mise en œuvre des dispositions de la constitution et à mobiliser l'ensemble des acteurs concernés par ce grand chantier national. L’objectif de cette étude, qui sera présentée à l’occasion de la commémoration de la journée internationale de la femme, est de s’imprégner des bonnes pratiques internationales en matière de lutte contre la discrimination et d’élaborer, avec le concours des acteurs concernés, un référentiel pour l’Autorité pour la parité et la lutte contre toutes formes de discrimination, en termes de prérogatives, de mandat, de composition et de structure organisationnelle, dans la perspective d’introduire et de faciliter le processus législatif visant la promulgation de la loi pour la mise en œuvre de l’APALD. La première partie de cette étude traite des fondements normatifs et opérationnels de l’APALD en s’arrêtant sur les fondements constitutionnels et législatifs internes et les engagements internationaux du Maroc dans ce domaine. Alors que la deuxième partie de l’étude passe en revue les expériences internationales en matière d’institutionnalisation de la lutte contre la discrimination, notamment les expériences européenne, latino-américaine et sud-africaine des instances chargées de la lutte contre les discriminations, avant de présenter les similitudes et la diversité des pratiques des organismes de lutte contre les discriminations. La troisième partie de l’étude jette la lumière sur les Scénarii pour la mise en place de l’APALD et présente les principales recommandations y afférentes. Elle présente ainsi le statut de l’instance, son assise normative et légale, son mandat, ses missions, ses fonctions, sa composition et son dispositif organisationnel, ses ressources humaines, l’expertise et les moyens financiers, la bonne gouvernance et les partenariats. Il est à rappeler que l’article 19 de la constitution adoptée le 1er juillet 2011 stipule que l'Etat marocain œuvre à la réalisation de la parité entre les hommes et les femmes. Il est créé, à cet effet, une Autorité pour la parité et la lutte contre toutes formes de discrimination. L'autorité chargée de la parité et de la lutte contre toutes formes de discrimination veille, selon la constitution, à ce que l'homme et la femme jouissent, à égalité, des droits et libertés à caractère civil, politique, économique, social, culturel et environnemental, énoncés dans le présent titre et dans les autres dispositions de la Constitution, ainsi quedans les conventions et pactes internationaux dûment ratifiés par le Royaume et ce, dans le respect des dispositions de la Constitution, des constantes et des lois du Royaume. Récapitulatif : Activité : Présentation de ‘l’étude comparative sur les expériences internationales dans le domaine de l’institutionnalisation de la lutte contre la discrimination’ Lieu : siège du Conseil national des droits de l’Homme Date et heure : le lundi 12 mars 2012 à partir de 14h30 Contact : département information communication, tel/05 37 73 29 13

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Le CNDH participe à Genève aux travaux de la 19ème session du Conseil des droits de l’Homme

Dans ce cadre, il a pris part au dialogue interactif avec le Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants dont le rapport a porté sur les commissions d’enquête.

Le Conseil National des droits de l’Homme (CNDH) a mis l’accent sur l’intérêt qu’il porte à la question de la lutte contre la torture lors de la 19ème session du Conseil des droits de l’Homme à Genève qui se tient du 27 février au 23 mars 2012.

Dans une communication orale du CNDH adressée au Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies dans le cadre du dialogue interactif avec le Rapporteur spécial sur la torture concernant les commissions d’enquête, le Président du Conseil, M. Driss El Yazami a mis en exergue les attributions élargies que confère au Conseil son texte fondateur qui l’habilite « à surveiller tous les cas de violation des droits de l’Homme, procéder aux investigations et enquêtes nécessaires, examiner les plaintes, auditionner les parties concernées, intervenir par anticipation pour prévenir les violations des droits de l’Homme au moyen de médiation et conciliation, visiter les lieux de privation de liberté et élaborer des rapports comprenant ses conclusions et les résultats de ses observations, investigations et enquête, accompagnés de ses recommandations».

Il a indiqué dans ce cadre que le CNDH a conduit des commissions d’établissement des faits notamment à Khouribga, la cité universitaire Souissi à Rabat, Safi et Taza, ajoutant que le Conseil a élaboré « un manuel spécial sur les visites des centres de détention qui s’inspire largement des dispositions du Protocole d’Istanbul mais qui gagnerait à être amélioré à la lumière des bonnes pratiques et des facteurs clés identifiés par le rapporteur pour l’établissement de commissions d’enquête efficientes dans la lutte contre la torture ».

Au niveau régional, le Président du Conseil a mis en exergue la conférence de haut niveau sur le rôle des INDH en matière de prévention de la torture en Afrique, organisée en septembre 2011 par le Conseil, en sa qualité de Président du réseau africain des institutions nationales des droits de l’Homme (RINADH).

Cette conférence, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Campagne « Un Continent uni contre la torture », lancée par le réseau et l’Association pour la prévention de la torture (APT), avait pour objectif de manifester un engagement commun des membres du RINADH pour prioriser la lutte contre la torture dans leurs activités, développer des plans d'action nationaux contre la torture, mettre en œuvre les instruments pratiques pertinents, en particulier Robben Island Guidelines et l’OPCAT (protocole protocole facultatif à la convention contre la torture), et partager leurs expériences et renforcer mutuellement leurs compétences.

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Colloque sur le thème « réforme du pouvoir judiciaire, nouvelle constitution et normes internationales »

Le Conseil national des droits de l’Homme et la Commission Internationale des Juristes organisent les 1-2 Mars 2012 à Rabat, un colloque sur le thème « réforme du pouvoir judiciaire, nouvelle constitution et normes internationales ».

Suite à la consécration de l’indépendance de la justice par la nouvelle constitution, et afin de garantir son indépendance et son efficacité, le Conseil reste intimement convaincu que la réforme constitutionnelle doit s’accompagner d’une révision profonde de la législation en vigueur afin de garantir l’indépendance du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ) et du Parquet, renforcer le statut des magistrats, assurer une réelle protection judiciaire, y compris au niveau de la cour constitutionnelle, des droits et libertés fondamentales, et de rétablir la confiance des citoyens dans le système judicaire.

De même, pour assurer l’indépendance effective du pouvoir judiciaire et des juges dans l’exercice de leur profession, il est essentiel que les nouvelles lois organiques concernant le CSPJ et le statut des magistrats soient conformes aux normes internationales d’indépendance et d’impartialité du système judiciaire, y compris les normes relatives aux magistrats du parquet.

En vue d’enrichir le débat sur cette thématique, ce colloque verra la participation des représentants des secteurs concernés par le domaine de la justice qui se pencheront sur différents thèmes en lien avec la justice à la lumière des expériences internationales en la matière.

Ainsi, les travaux de ce colloque seront déclinés en séances plénières autour des thèmes suivants : ‘Rôle du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire dans la consolidation de l’indépendance de la magistrature’, ‘la réforme du Statut des magistrats’, ‘le ministère public, quelle indépendance?’, ‘l’indépendance de la justice entre la loi et la pratique’.

La séance d’ouverture de cette rencontre aura lieu le jeudi 1er mars 2012 à la bibliothèque nationale du Royaume du Maroc à partir de 9h, en présence de M. El Yazami, Président du Conseil national des droits de l’Homme, M. Mahjoub El Haiba, Délégué interministériel chargé des droits de l’Homme et M. Said Benarbia, conseiller juridique principal auprès de la commission internationale des juristes.

Il est à rappeler que l’Instance Equité et Réconciliation a émis dans son rapport final des recommandations relatives à « la mise à niveau de la justice et le renforcement de son indépendance » et dans le cadre du suivi de la mise en œuvre de ces recommandations, le Conseil consultatif des droits de l’Homme (l’actuel Conseil national) a présenté en 2009 à la haute appréciation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI un mémorandum sur « la mise à niveau de la justice et le renforcement de son indépendance ».

Ce mémorandum comprend plusieurs recommandations relatives notamment au renforcement des garanties de l’indépendance de la justice dans la constitution, l’organisation du Conseil supérieur de la magistrature, la révision des lois (statut de base des magistrats, l’organisation judiciaire du Royaume et le décret régissant les prérogatives du ministère de la justice), la politique gouvernementale dans le domaine de la justice, la politique pénale, la formation et la formation continue, les moyens matériels et humains, le code de conduite et l’implication de la société civile et des médias.

Récapitulatif :

Activité : Colloque sur le thème « réforme du pouvoir judiciaire, nouvelle constitution et normes internationales »

Date et heure : le jeudi 1er mars 2012 à partir de 9h

Lieu : la bibliothèque nationale du Royaume du Maroc

Contact : département information et communication, tel/05 37 73 29 13

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Journée d’étude sur le thème «le dopage dans le sport : approche droits de l’Homme»

Le Conseil national des droits de l’Homme organise, en partenariat avec l’association marocaine de sensibilisation sur les dangers du dopage dans le sport, une journée d’étude sur le thème «le dopage dans le sport : approche droits de l’Homme», et ce, le mardi 28 février 2012 au siège du Conseil, à partir de 9h.

Cette rencontre qui a pour objectif de contribuer à la mise en place d’un système de lutte contre le dopage au sein de la société marocaine vu sous l’angle des droits de l’Homme verra la participation de plus de 70 participants représentants les différents secteurs gouvernementaux et associatifs concernés par la question du dopage dans le domaine sportif.

Les travaux de cette rencontre s’articuleront autour de plusieurs axes qui concernent notamment la définition des anabolisants, leurs différentes formes, leur impact sur l’économie et leurs échos dans les médias marocains.
Cette journée d’étude constituera également une occasion pour présenter « le rapport synthétique sur le plan stratégique 2007-2012 » de l’association marocaine de sensibilisation sur les dangers du dopage dans le sport, ainsi qu’une vision analytique sur la réalité du dopage au Maroc.

Les travaux de cette rencontre seront couronnés par l’élaboration d’un rapport général qui fera office d’une première plateforme visant à contribuer à l’adoption d’une charte nationale en la matière, qui sera la première du genre dans le monde arabe.

Récapitulatif :

Activité : Journée d’étude sur le thème «le dopage dans le sport : approche droits de l’Homme»

Date et heure : le mardi 28 février 2012 au siège du Conseil, à partir de 9h

Lieu :
le siège du Conseil national des droits de l’Homme

Contact : département information communication au Conseil 05 37 73 29 13/ Soundouss Benhallam: 06 61 89 86 53

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Le Conseil national des droits de l’Homme présente en Egypte l’expérience du Royaume du Maroc en matière de justice transitionnelle

Dans le cadre d’un congrès international sur les défis et opportunités de la mise en place des mécanismes de justice transitionnelle dans les pays arabes

Le Conseil national des droits de l’Homme, représenté par son président M. Driss El Yazami, participe les 24 et 25 février 2012 au Caire, à un congrès international sur les défis et opportunités d’instauration des mécanismes de justice transitionnelle dans les pays arabes sur le thème : ‘une année après le début des révolutions arabes : vers l’élaboration de visions opérationnelles pour la mise en place de mécanismes de justices transitionnelle’.

Cette rencontre internationale, organisée par l’Institut arabe des droits de l’Homme, en coopération avec l’organisation arabe des droits de l’Homme et le Centre international de justice transitionnelle, avec l’appui du programme régional des droits de l’Homme et de la paix soutenu par l’agence Canadienne de développement international (ACDI).

Le Président du CNDH présentera l’expérience marocaine en matière de justice transitionnelle dans le cadre de l’axe ‘approches arabes de justice transitionnelle : réalisations, problématiques et lacunes’.

D’autres axes de débats sont prévus au programme de cette rencontre qui sera marqué par la présence de plusieurs experts arabes et internationaux. Ces derniers s’attelleront à présenter plusieurs recommandations et visions de projets de loi relatifs à la justice transitionnelle (commissions de vérités, auditions publiques, réparation, réformes institutionnelles).

Les participants à cette rencontre en provenance de plusieurs pays arabes ( Maroc, Algérie, Tunisie, Egypte, Lybie, Barhain, Yemen, Syrie) s’organiseront autour de quatre tables rondes pour discuter des questions de l’impunité des responsables des violations, l’indemnisation et la réparation des préjudices, la réconciliation et les réformes pour garantir la non répétition des violations du passé, les auditions publiques et la documentation des témoignage, etc. Objectif: sortir avec un document de référence pour la mise en place des mécanismes de justice transitionnelle dans les pays arabes.

Le programme de la rencontre comprend également, une session plénière pour discuter de la création d’un réseau arabe pour la justice transitionnelle.

Il convient de rappeler que le Royaume du Maroc a initié depuis le début des années 90 une expérience unique dans le monde arabe en matière de justice transitionnelle en vue du règlement du passé des violations graves des droits de l’Homme, à travers dans un premier temps l’Instance indépendante d’arbitrage et l’indemnisation des victimes de disparition forcées et par la suite l’Instance Équité et Réconciliation dont le rapport final comprend plusieurs recommandations importantes relatives à l’établissement de la vérité, la réparation des préjudices individuels et collectifs, la préservation de la mémoire et les réformes juridiques, institutionnelles et à la gouvernance sécuritaire.

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Le Conseil national des droits de l’Homme appelle à l’accélération de la ratification de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées

Le Conseil national des droits de l’Homme a appelé le gouvernement à accélérer le processus de la ratification par le Royaume du Maroc de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées.

Le Secrétaire général du CNDH, M. Mohamed Essabbar a adressé, le 22 février 2012, une lettre dans ce sens au Secrétaire général du gouvernement pour s’enquérir de l’évolution de la ratification de cette convention dont le Royaume du Maroc a été l’un des premiers signataires.

Cette initiative du Conseil national des droits de l’Homme s’inscrit dans le cadre de sa contribution à la mise en œuvre des dispositions de la nouvelle constitution, et de la mise en application des engagements du Royaume du Maroc en vue du parachèvement de son adhésion au système des Nations Unies des droits de l’Homme.

Le Secrétaire général du Conseil a mis en exergue dans sa lettre « les avancées du Maroc en matière d’établissement de la vérité sur les victimes des disparitions forcées à travers notamment l’expérience de l’instance Equité et Réconciliation et la coopération fructueuse avec le groupe des Nations Unies chargé des cas de disparitions forcées et involontaires qui a salué dans son dernier rapport le sérieux du Royaume dans le traitement de ce dossier ».

Il convient de rappeler que la convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre la disparition forcée, adoptée par la résolution des Nations Unies numéro 61/177, le 20 décembre 2006, définit la « disparition forcée » comme étant « l'arrestation, la détention, l'enlèvement ou toute autre forme de privation de liberté par des agents de l'État ou par des personnes ou des groupes de personnes qui agissent avec l'autorisation, l'appui ou l'acquiescement de l'État, suivi du déni de la reconnaissance de la privation de liberté ou de la dissimulation du sort réservé à la personne disparue ou du lieu où elle se trouve, la soustrayant à la protection de la loi ».

Cette même convention considère la disparition forcée comme étant un crime contre l'humanité, tel qu'il est défini dans le droit international applicable, et entraîne les conséquences prévues par ce droit.

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Rencontre nationale sur ‘la réparation communautaire : état des lieux et perspectives’

Le Conseil national des droits de l’Homme, la fondation CDG et la Délégation de l'Union européenne au Maroc organisent, le samedi 11 février 2012 à Rabat, une rencontre nationale sur le thème : ‘la réparation communautaire : état des lieux et perspectives’.

L’objectif de cette rencontre, à laquelle sont conviés plus de 140 acteurs du programme réparation communautaire(CNDH ; Fondation CDG ; Délégation de l’Union Européenne au Maroc, les instances chargées de la supervision du programme au niveau local et national, les associations porteuses des projets ; les départements ministériels et les institutions nationales, la coopération internationale, les ONGs nationales et des experts), est d'établir le bilan des activités menées dans le cadre de ce programme et de réfléchir, à partir des expériences accumulées, aux perspectives de suivi de cette dynamique nationale.

Lancé en juin 2007, le programme réparation communautaire a pu, au bout de quatre années de mise en œuvre, faire émerger près de 130 projets dans les différentes régions concernées par le programme à savoir : Ouarzazate, Errachidia, Zagora, Figuig, Nador, Al Hoceima, Khénifra, Azilal, Tan-Tan, Tinghir, Midelt, Khémissete, Casablanca-Hay Mohammadi.

Le programme s’articule autour de cinq axes prioritaires : le renforcement des capacités des acteurs locaux, la préservation active de la mémoire, les activités génératrices de revenus, la promotion des droits humains des femmes et des enfants et la protection de l’environnement.

Pour se faire, le Conseil consultatif des droits de l’Homme, chargé du suivi des recommandations de l’Instance Equité et Réconciliation (IER), a mobilisé plus de 19 partenariats au niveau national et international.

Cofinancé par l’Union Européenne et le Gouvernement du Royaume du Maroc, le programme réparation communautaire, une des recommandations principales de l’IER, est basé sur une philosophie de discrimination positive et sur un effort supplémentaire de solidarité en faveur de certaines régions et communautés du Maroc qui ont souffert collectivement, de manière directe ou indirecte, des séquelles des violations graves des droits de l’Homme.

Comportant une double dimension matérielle et symbolique le programme de la réparation communautaire est à la fois un geste de reconnaissance des dommages causés mais aussi de réparation du préjudice dont l’objectif est de rétablir la confiance des victimes dans l’Etat.

La séance d’ouverture des travaux de la rencontre qui connaitra la participation de M Driss El Yazami, Président du CNDH, M Eneko Landaburo, Ambassadeur et chef de la Délégation de l’Union Européenne au Maroc et M Anas Houir Alami, Président de la Fondation CDG, aura lieu le samedi 11 février 2012 à l’Hôtel Tour Hassan- Rabat à 9h00.

Récapitulatif :

Activité : Rencontre nationale sur ‘la réparation communautaire : état des lieux et perspectives’

Date et heure : Samedi 11 février 2012 à 9h00

Lieu : Hôtel Tour Hassa- Rabat

Contact : Fadoua Maroub, Département communication du CDNH : 0661964937

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Rencontre nationale sur ‘la réparation communautaire : état des lieux et perspectives’

Le Conseil national des droits de l’Homme, la fondation CDG et la Délégation de l'Union européenne au Maroc organisent, le samedi 11 février 2012 à Rabat, une rencontre nationale sur le thème : ‘la réparation communautaire : état des lieux et perspectives’.

L’objectif de cette rencontre, à laquelle sont conviés plus de 140 acteurs du programme réparation communautaire(CNDH ; Fondation CDG ; Délégation de l’Union Européenne au Maroc, les instances chargées de la supervision du programme au niveau local et national, les associations porteuses des projets ; les départements ministériels et les institutions nationales, la coopération internationale, les ONGs nationales et des experts), est d'établir le bilan des activités menées dans le cadre de ce programme et de réfléchir, à partir des expériences accumulées, aux perspectives de suivi de cette dynamique nationale.

Lancé en juin 2007, le programme réparation communautaire a pu, au bout de quatre années de mise en œuvre, faire émerger près de 130 projets dans les différentes régions concernées par le programme à savoir : Ouarzazate, Errachidia, Zagora, Figuig, Nador, Al Hoceima, Khénifra, Azilal, Tan-Tan, Tinghir, Midelt, Khémissete, Casablanca-Hay Mohammadi.

Le programme s’articule autour de cinq axes prioritaires : le renforcement des capacités des acteurs locaux, la préservation active de la mémoire, les activités génératrices de revenus, la promotion des droits humains des femmes et des enfants et la protection de l’environnement.

Pour se faire, le Conseil consultatif des droits de l’Homme, chargé du suivi des recommandations de l’Instance Equité et Réconciliation (IER), a mobilisé plus de 19 partenariats au niveau national et international.

Cofinancé par l’Union Européenne et le Gouvernement du Royaume du Maroc, le programme réparation communautaire, une des recommandations principales de l’IER, est basé sur une philosophie de discrimination positive et sur un effort supplémentaire de solidarité en faveur de certaines régions et communautés du Maroc qui ont souffert collectivement, de manière directe ou indirecte, des séquelles des violations graves des droits de l’Homme.

Comportant une double dimension matérielle et symbolique le programme de la réparation communautaire est à la fois un geste de reconnaissance des dommages causés mais aussi de réparation du préjudice dont l’objectif est de rétablir la confiance des victimes dans l’Etat.

La séance d’ouverture des travaux de la rencontre qui connaitra la participation de M Driss El Yazami, Président du CNDH, M Eneko Landaburo, Ambassadeur et chef de la Délégation de l’Union Européenne au Maroc et M Anas Houir Alami, Président de la Fondation CDG, aura lieu le samedi 11 février 2012 à l’Hôtel Tour Hassan- Rabat à 9h00.

Récapitulatif :

Activité : Rencontre nationale sur ‘la réparation communautaire : état des lieux et perspectives’

Date et heure : Samedi 11 février 2012 à 9h00

Lieu : Hôtel Tour Hassa- Rabat

Contact : Fadoua Maroub, Département communication du CDNH : 0661964937

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CCME, CC, ICPC, CNDH… présents au SIEL 2012

Le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger, le Conseil de la concurrence, le Conseil national des droits de l’Homme et l’Instance centrale de prévention de la corruption participent par un stand commun à la dix-huitième édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) qui se tient à Casablanca du 08 février au 19 février 2012.

Près de 250 participant-e-s en provenance du Maroc et d'une vingtaine de pays, une centaine de rencontres et de manifestations, une pièce de théâtre, la projection de documentaires et un récital de poésie hassani : tel est le programme conçu par les quatre institutions présentes à cette 18ème édition du SIEL et qui s'articule autour de plusieurs "fils rouges" : Ecritures au féminin, L’immigration dans tous ses Etats, Le café des droits, Printemps arabes, Histoire et mémoire, Bonne gouvernance ...

Le stand de 400 m² abritera ainsi des échanges entre les créatrices marocaines du monde et leurs consœurs du Maroc, de très nombreux débats sur les dispositions de la nouvelle constitution en matière de droits de l'Homme, de bonne gouvernance et de démocratie participative, des tables rondes sur la situation de l'immigration marocaine dans les pays de résidence, des conférences des présidents des quatre institutions, etc.

Chercheurs et acteurs venant de Syrie, du Yémen, de Tunisie, de Libye et d'Egypte, mais aussi de France, de Suisse et des Etats-Unis feront le bilan des soulèvements, à la fois communs et dissemblables, qui ont secoué la région arabe. Tous les matins, un Programme jeunesse est proposé au public scolaire avec des animations spécifiques autour des thématiques des droits de l'Homme, de la gouvernance et de la citoyenneté. Enfin, plusieurs rencontres sont programmées sur les problématiques de l'histoire, des archives et de la mémoire.

Ce stand, soutenu par la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), sera également l'occasion d'exposer une librairie riche de plus de 2000 titres. Le public y trouvera toutes les publications des institutions partenaires, mais aussi des centaines d'ouvrages en lien avec l'immigration, les droits de l'Homme, la citoyenneté et la bonne gouvernance.

Dans une déclaration commune, MM. Abdesselam Aboudrar, Abdelali Benamour et Driss El Yazami rappellent qu'en conjuguant leurs efforts, les quatre institutions entendent célébrer avec le public et les exposants cette grande fête populaire de la culture et de la citoyenneté. La fréquentation massive du SIEL exprime une conviction largement partagée, écrivent-ils : "C'est par l'éducation et le savoir, la fréquentation du livre, la création libre et sans entraves, que l'avenir de ce pays se construit. Nos institutions se devaient d'être au rendez-vous avec cet élan populaire".

Contact presse :

CCME – Hanane Mazili - + 212 (0) 6 69 01 65 02 / Email: hmazili@gmail.com / www.ccme-siel.com

ICPC – Jamal Moussaoui - + 212 (0) 37 57 86 60 / Email : moussaoui@icpc.ma / www.icpc.ma

CNDH - Fadoua Maroub - + 212 (0) 6 61 96 49 37 / Email: communication@cndh.org.ma / www.ccdh.org.ma

CC - Hind Alaoui - + 212 (0) 6 61 23 91 75 / Email: hialaoui@yahoo.fr / www.conseil-concurrence.ma

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