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Bulletin d'information

Actualités

17-05-2024

Avis de recrutement - CNDH et CRDH

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28-03-2024

Résultat final: Avis de recrutement de deux cadres de gestion de d'encadrement (...)

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28-02-2024

Appel à candidature pour le poste de chargé principal de la promotion des droits (...)

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Cérémonie de signature de la Déclaration sur la liberté de la presse dans le monde arabe

M. Driss El Yazami, président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) procédera à la signature de la Déclaration sur la liberté de la presse dans le monde arabe, le mardi 23 mai 2017 à partir de 18h au siège du CNDH.

Cette initiative a été lancée en 2014 par la Fédération internationale des journalistes (FIJ) en collaboration avec plusieurs syndicats, organisations de journalistes arabes et instances partenaires. La Déclaration comporte des principes qui prévoient la consécration de la liberté d’information, de l’indépendance de la presse, du pluralisme et de la diversité dans le secteur de l’information.
Elle prévoit aussi le respect des droits de l’Homme, la consécration de l’égalité entre les journalistes hommes et femmes, la garantie de leur sécurité pendant l’exercice de leur travail.
 

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Session de clôture du cycle de formation en droits de l’Homme organisé au profit des associations des régions de Laâyoune-Sakia Elhamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab

M. Driss El Yazami, président du Conseil national des droits  de l’Homme, présidera le 12 mai 2017 à l’Institut national de formation aux droits de l’Homme (INFDH) à Rabat, la session de clôture du cycle de formation en droits de l’Homme au profit des associations des régions de Laâyoune-Sakia El Hamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab.   

Lancé le 13 mars 2017 par le CNDH, en partenariat avec l’Institut républicain international (IRI) et avec l’appui du Département d'État des États-Unis, ce cycle de formation en droits humains et gouvernance participative a bénéficié à des acteurs de la société civile des régions de Laâyoune-Sakia El Hamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab.

Réparti en quatre sessions (13-17 mars, 3-7 avril, 24-28 avril et 8-12 mai 2017), ce cycle de formation avait pour objectif de renforcer les capacités des participants dans les domaines liés aux droits humains à l’échelle nationale et internationale et de contribuer à l’effectivité des principes de la gouvernance participative, notamment dans le cadre des nouveaux rôles confiés aux associations de la société civile au Maroc.

La formation a bénéficié à un certain nombre de jeunes appartenant à des associations œuvrant dans les domaines des droits des femmes, des enfants, des jeunes et des personnes en situation de handicap.

Récapitulatif :

Activité : Session de clôture du cycle de formation en droits de l’Homme organisé au profit des associations des régions de Laâyoune-Sakia Elhamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab

Date et heure : le 12 mai 2017 à partir de 15h

Lieu : l’Institut national de formation aux droits de l’Homme (INFDH), à Douar Al Kora, Yacoub El Mansour à Rabat

Contact : Direction de la Communication (0662762325)

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« Un si long chemin, Paroles de réfugiés au Maroc » : Remise des bénéfices liés aux droits d’auteur et d’éditeur à l’association Al Karam

            Près d’un an après la publication de l’ouvrage « Un si long chemin, Paroles de réfugiés au Maroc », les différents partenaires de ce projet se retrouveront le 11 mai 2017 à 18h au siège du CNDH pour une remise des bénéfices liés aux droits d’auteur et d’éditeur à l’association Al Karam. Dès la publication de l’ouvrage, il avait été convenu que ces bénéfices  seraient remis à une association oeuvrant en faveur des réfugiés.

            L’association Al Karam agit depuis 1997, date de sa création, en faveur de la protection des enfants en situation précaire et de la promotion de leurs droits inscrits dans la Convention internationale des droits de l’enfant, ratifiée par le Maroc en 1993. L’association a récemment ouvert un centre d’écoute avec une crèche et une classe d’enseignement non formelle pour les enfants de migrants.

            Rappelons que ce livre retrace le portrait de 30 réfugiés au Maroc, originaires de 16 pays, et vise à sensibiliser le public marocain à la situation des réfugiés, à lutter contre les stéréotypes, les stigmatisations et les préjugés à l’égard de ces populations.         Le Maroc héberge aujourd’hui quelque 5000 réfugiés, enregistrés auprès du HCR, qui ont fui les conflits ou les persécutions et qui ont trouvé refuge au Maroc. Le défi posé, dans un pays qui devient aussi pays de destination, est donc celui du « vivre ensemble ». Cette cérémonie se déroulera en présence de M. Driss El Yazami, président du CNDH, de M. Jean-Paul Cavaliéri, représentant du HCR au Maroc, de Mme Karima Mkika, présidente de l’association Al Karam, de M. Abdelkader Retnani, directeur des éditions La croisée des chemins et de M. Jalil Bennani, auteur de l’ouvrage.

            Signalons que le livre est en cours de traduction en langues arabe et allemande.

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Pacte mondial sur les migrations : Rencontre au Niger sur le rôle des institutions nationales africaines des droits de l’Homme

Le Conseil national des droits de l’Homme du Maroc (CNDH) et le Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’Homme (RINADH) organisent un événement spécial des INDH sur le thème « Rôle des institutions nationales africaines des droits de l’Homme (INDH) dans le processus de négociations menant à l’adoption du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », et ce le 7 mai 2017, à Niamey  (Niger).

Regroupant plusieurs institutions nationales des droits de l’Homme (INDH) et acteurs de la société civile, cette rencontre vise à développer la réflexion africaine sur le processus de négociations autour du Pacte mondial sur la migration (Global compact). Elle a comme objectif d’informer sur l’ensemble des processus du Global compact et des enjeux et défis y afférents, de sensibiliser les INDH africaines sur l’importance de la coopération, pour réussir une politique migratoire africaine commune et d’adopter une position africaine commune, contenant les recommandations des INDH africaines dans le respect des droits de l’Homme des migrants et des réfugiés.

Participeront à cet évènement une dizaine d’INDH africaines francophones et anglophones, des organisations de la société civile d’Afrique, des représentants de l’Union africaine et des experts en matière de migration.

Les panels prévus au programme de la rencontre mettront la lumière sur les aspects suivants : « Politique de l’Union africaine au sujet de la migration », « Bonnes pratiques des INDH sur la migration : expérience des INDH et possibilités d’interaction dans le cadre du processus de l’élaboration du Pacte mondial pour les migrations », et « Actions et engagement des organisations de la société civile pour les droits des migrants ».

La séance d’ouverture de la rencontre sera présidée par MM. Mohamed Charef, membre du CNDH, Maroc, Gilbert Sebihogo, Directeur exécutif du RINADH et Salah S. Hammad, Expert en matière des droits de l’Homme au Département des affaires politiques à l’Union Africaine.

Les défis et les enjeux liés à la migration, aux réfugiés et aux déplacements forcés dans le monde sont devenus des urgences pour la communauté internationale et une réalité pour tous. Face à ces crises humanitaires, le sommet tenu au siège des Nations unies à New York a non seulement lancé le processus de négociations devant aboutir en 2018 à l’adoption du Pacte mondial sur la migration  (Déclaration A/RES/71/1 en date du 19 septembre 2016) ; mais il a également permis de reconnaître, de manière unanime, la nécessité d’une approche globale sur les questions liées aux mobilités humaines. A la suite de ce Sommet, il a été décidé d'engager un processus pour l'adoption de deux pactes internationaux distincts : l'un portant sur la migration et l'autre sur les réfugiés. Il a également été convenu par les Etats membres que le Pacte mondial pour « des migrations sûres, ordonnées et régulières » doit être développé selon un processus inclusif de consultations et de négociations impliquant à la fois, les États, les INDH, la société civile, les communautés et les migrants eux-mêmes.

Pour une multitude de raisons, les Institutions nationales des droits de l’Homme (INDH) peuvent jouer un rôle important dans le processus d’élaboration du Pacte mondial. En effet, les INDH sont titulaires d’un mandat de promotion et protection des droits de l’Homme de tous, y compris les migrants, les réfugiés et les déplacés. Etant également des « instances de médiation » entre l’échelle internationale et nationale, elles ont la possibilité de réunir les différents acteurs nationaux afin de les sensibiliser et de les impliquer dans les processus d’élaboration du Pacte mondial sur les migrations. Enfin, Le système onusien leur accorde un rôle essentiel, notamment à travers la résolution 70/163 de l'Assemblée générale, appelant tous les mécanismes et processus des Nations unies à renforcer la participation des INDH à leur travail.

Par ailleurs, le Conseil national des droits de l’Homme du Maroc (CNDH) a été désigné par l’Alliance Globale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI) comme son point focal africain pour le suivi du processus du Global compact, et ce dans le cadre de l’approche l’Alliance visant à soutenir la participation et la contribution des INDH à toutes les étapes de la consultation.

Il convient de rappeler que le CNDH a publié en septembre 2013 les recommandations de son rapport sur l’immigration et l’asile dans lequel il a appelé à l’élaboration et la mise en œuvre d’une véritable politique publique protectrice des droits, basée sur la coopération internationale et intégrant la société civile. Le gouvernement, qui a interagit positivement avec les recommandations du Conseil, a mis en place une nouvelle politique migratoire, basée, conformément aux orientations Royales, sur une approche globale et humaniste, qui prend essence du droit international et de la coopération multilatérale. Les premières étapes de cette politique ont été caractérisées par le lancement de l’opération de régularisation de la situation des immigrés en séjour irrégulier selon des critères dûment établis et l’installation de la commission nationale de suivi et de recours, ainsi que le lancement du processus de réforme juridique régissant la migration , l’asile et la traite des personnes.

Récapitulatif

Activité : Rencontre sur le thème « Pacte mondial sur les migrations : Rencontre sur le rôle des institutions nationales africaines des droits de l’Homme »

Date et heure : le 7 mai 2017 à partir de 9h

Contact : Ghizlane kabbaj (0661987461)

ghikabbaj@gmail.com

Note conceptuelle

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Le CNDH organise une série d’activités de sensibilisation à l’occasion de la journée africaine de la détention provisoire

A l’occasion de la Journée africaine de la détention provisoire, le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et ses Commissions régionales organisent le 25 avril 2017, en coopération avec différents partenaires, plusieurs activités en vue de jeter la lumière sur les défis et les problématiques que pose la détention provisoire au sein du système judiciaire marocain.

Ces activités qui se déclineront sous forme de conférences, de tables rondes, d’émissions médiatiques et de visites en prison, visent à contribuer au débat public sur la question de la détention provisoire qui constitue l’un des principaux facteurs de la surpopulation carcérale. En effet, selon la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion, 40% de l’ensemble des détenus sont en détention préventive, ce qui nécessite de déployer davantage d’efforts de la part des différents intervenants afin de lutter contre ce phénomène.

Les activités constituent donc une occasion pour l’ensemble des acteurs concernés pour discuter des principales difficultés et contraintes qui conduisent à un usage excessif de cette mesure pourtant qualifiée d’« exceptionnelle » par le législateur compte tenu de ses incidences sur les droits des personnes en détention préventive en particulier et sur les droits de l’ensemble de la population carcérale en général.      

Cet événement constituera donc une occasion pour débattre des mesures alternatives susceptibles d’atténuer le recours excessif à la détention provisoire de manière à veiller à l’effectivité du principe de la présomption d’innocence et renforcer les garanties pour un procès équitable.

Par ailleurs, certaines organisations de lutte contre la torture dont l’Association pour la  prévention de la torture (APT) ont affirmé que des millions de personnes sont inutilement maintenues en détention provisoire dans le monde, ce qui entraîne des violations des droits humains et ajoute une énorme pression sur les systèmes de justice pénale déjà surchargés. En Afrique, le taux moyen des détenus préventifs s’élève à 34,7% dans le continent africain. Aussi, les coûts directs et indirects pour l'Etat, pour la société et les individus, ainsi que les violations des droits fondamentaux qui découlent de cette surpopulation carcérale font de la réduction de l’usage de la détention provisoire une urgence.

Il convient de noter que la journée africaine de la détention préventive a été adoptée par le Réseau des institutions nationales africaines des droits de l'Homme (RINADH) dans la Déclaration de Yaoundé du 23 Octobre 2015 suite à sa dixième conférence biannuelle tenue sur le thème « Prohibition et prévention de la torture : les succès, les défis, les opportunités et le rôle des INDH".    

La Déclaration de Yaoundé recommande de ‘contribuer à une réduction de l’usage excessif de la détention provisoire, y compris par la promotion des réformes juridiques et des politiques pénales sur : les alternatives à l'incarcération, les interventions para-juridiques, les avocats de garde à des postes de police, et l'évaluation de la détention préventive’.

 Il est à rappeler par ailleurs que le CNDH avait souligné dans son rapport intitulé « La crise des prisons : une responsabilité partagée” publié en 2012 que ‘le recours excessif à la détention provisoire constitue la première cause du surpeuplement’ et a recommandé, ‘d’accélérer les procédures concernant les détenus placés en détention provisoire tant au niveau de l’instruction que du jugement’, de ‘Programmer la construction de prisons spécialement pour les détenus-e-s en détention préventive et ceux condamnés à des peines courtes dans la circonscription de chaque tribunal de première instance’.

 

Télecharger la Déclaration de Yaoundé

Télecharger le document de l'APT sur la détention provisoire et le rôle des INDH

 

 

 

 

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Deuxièmes rencontres du film ethnologique sur le thème « Regarder l’autre »

 

Le Centre Jacques-Berque, l’Université Mohammed V de Rabat et le Centre des études sahariennes (CES) organisent les 25 et 26 avril 2017 à Rabat les Deuxièmes rencontres du film ethnologique sur le thème « Regarder l’autre » au siège du CES à la Faculté des lettres de Rabat (annexe d'Al Irfane).

Cette manifestion vise à initier les étudiants et les chercheurs à l’importance du film ethnologique dans la production du savoir anthropologique. La rencontre souhaite également  rapprocher le public des techniques et méthodologies adoptées dans la réalisation des films ethnologiques.

Les activités des rencontres seront marquées par une conférence introductive donnée par le réalisateur français, Henri Herré.

Ainsi, quatre documentaires seront projetés : Marocains sans terres, de Soraya El Kahlaoui, 34 mètres d’altitude, de Kenza Afsahi, Les chemins de la Baraka, de Manoël Pénicaud et Khamis Mesbah et Sur les chemins des phosphates, de Malika El Manoug et Mohammed Nadrani.

Il convient de rappeler que le Centre des études sahariennes a été créé en février 2013 en partenariat entre l’Université Mohammed V - Rabat, le Conseil national des droits de l’Homme, l’Agence du Sud et l’Office chérifien des phosphates. Il a pour missions de réaliser des recherches pluridisciplinaires dans différents domaines du savoir et d’encourager la recherche au service du développement dans les provinces du sud.

Télécharger le programme 

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Voix de femmes : Rencontre sur la littérature féminine africaine

Dans le cadre des rencontres organisées à l’occasion de l’événement Afrique en Capitale,  le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (MMVI) accueille, le 20 avril 2017 à 14h, à l’initiative du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), de l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), de l’Académie du Royaume du Maroc, de la Fondation nationale des musées (FNM) et de l’Université internationale de Rabat (UIR), une rencontre de romancières africaines intitulée « Voix de femmes ».

L’événement Voix de femmes, animé par les écrivains Kebir Mustapha Ammi et Hassan Nejmi, connaît la participation de Scholastique Mukasonga (Rwanda), Leila Abouzeid (Maroc), Rabâa Abdelkefi (Tunisie), Nora Amin (Egypte), Sefi Atta (Nigeria), Khadi Hane (Sénégal ) Latifa Baqa ( Maroc) et Siham Bouhlal (France, Maroc).

En ce XXIème siècle, la littérature africaine apparaît pour l’essentiel comme féminine, avec l’émergence, dans toutes les régions et les langues du continent, de grandes romancières qui portent à la fois les aspirations des femmes et des peuples.

Cet évènement rassemble un groupe de romancières anglophones, arabophones et francophones, pour des discussions à deux ou à plusieurs et des lectures. L’événement est une occasion de rencontrer des grands noms de la littérature féminine du continent pour des débats rythmés de partage qui permettraient au public de projeter un nouveau regard sur les œuvres des romancières de nationalités différentes et de s’immerger dans leurs univers respectifs.

 

Télécharger le catalogue de la rencontre 

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Colloque international à Rabat sur le thème "l’Afrique en mouvement : migrations, diasporas et mobilités"

Dans le cadre de l’événement « Afrique en Capitale », coordonné par la Fondation nationale des musées (FNM), le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), l’Université internationale de Rabat (UIR), l’Académie du Royaume du Maroc, l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) et le Musée Mohammed VI d’art moderne & contemporain (MMVI) organisent toute la journée du jeudi 13 avril à l’auditorium du MMVI à Rabat un colloque sur le thème «L’Afrique en mouvement : migrations, diasporas et mobilités ».

Rassemblant des anthropologues, des politologues et des sociologues spécialistes des migrations du Maroc, du Sénégal, du Burkina Faso, du Rwanda, de France et du Royaume-Uni, ce séminaire entend faire le point sur les principales mutations des migrations africaines.

Appréhendées le plus souvent sous le seul angle de la sécurité et présentées comme une menace permanente vis-à-vis des pays du Nord, les migrations africaines sont d’abord et surtout intra-africaines : près de sept migrants africains sur dix s’installent dans un autre pays du continent. Plongeant leurs racines dans l’histoire, ces migrations connaissent aussi de profondes mutations. Ainsi, des régions entières dont le Maghreb sont devenues ces dernières décennies de véritables carrefours migratoires, où convergent plusieurs mouvements de population et des mobilités de plus en plus diversifiées (étudiants, demandeurs d’asile, migrants économiques, etc.).  De près en près, les pays africains sont tout à la fois des pays d’émigration, de transit et d’installation durables, transformés par l’apport de nouveaux concitoyens et des relations multiples entretenus par les compatriotes expatriés.

Le colloque, qui se tient de 9h30 à 18h sera ouvert par M.  Abdelkrim Benatiq, Ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, chargé des Marocains Résidant à l’Etranger et des Affaires de la Migration, M. Driss El Yazami, Président du CNDH, M. Abdeljalil Lahjomri, Secrétaire perpétuel de l’Académie du Royaume du Maroc, M. Noureddine Mouaddib, Président de l’UIR et l’Ambassadeur Mohamed Methqal, Directeur Général de l’AMCI. 

Télécharger le programme du colloque 

 

 

Contact Presse :

Yosra Benabbou

Yosra.benabbou@uir.ac.ma

06 60 75 76 32

Abdelghani Berdi

a.berdi@cndh.org.ma

06 62 76 23 25

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Errachidia : rencontre régionale sur le thème ‘scolarisation des enfants en situation de handicap : réalités et perspectives’

A l’occasion de la journée nationale des personnes en situation de handicap, l’Académie régionale de l’éducation et de la formation (AREF) de Draâ-Taflilelt et la Commission régionale des droits de l’Homme (CRDH) d’Errachidia-Ouarzazate a organisé le 30 mars 2017 à Errachidia, une rencontre régionale sur le thème ‘scolarisation des enfants en situation de handicap : réalités et perspectives’.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la convention de partenariat signée entre l’AREF de Draâ-Taflilelt et la CRDH d’Errachidia-Ouarzazate dans son volet relatif à la diffusion de la culture des droits de l’Homme. Elle s’est déroulée en présence de responsables du ministère de l’Education nationale et de la Formation professionnelle de la région de Draâ-Tafilalet, de représentants associatifs et d’acteurs œuvrant dans le domaine du handicap, de l’éducation et des droits de l’Homme.

La rencontre a permis de jeter la lumière sur la situation de la scolarisation des enfants en situation de handicap dans la région à travers une série d’interventions : ‘La situation de la scolarisation des enfants en situation de handicap dans la région de Draâ-Taflilelt’, ‘Le handicap au Maroc entre les fondements et l’effectivité des droits de l’Homme’,  et ‘Réalité et perspectives de la scolarisation des enfants en situation de handicap’.

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Séminaire international du Conseil national des droits de l’Homme et de l’Union européenne sur "L’observation neutre et indépendante des élections"

 

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et la Délégation de l’Union européenne au Maroc organisent les 28 et 29 mars 2017 à la Chambre des Représentants un séminaire international sur l’observation neutre et indépendante des élections.

Organisé dans le cadre de la mise en œuvre du programme de jumelage, mené en partenariat entre le CNDH, la Délégation de l’Union européenne et les Institutions nationales des droits de l’Homme de France, d’Autriche et des Pays-Bas, ce séminaire international vise à établir un diagnostic commun et participatif des forces et des faiblesses de l’observation électorale et à élaborer une plateforme commune de recommandations portant sur le renforcement de l’observation électorale.

La rencontre à laquelle prendront part des acteurs et experts nationaux et internationaux dans le domaine de l’observation électorale, ambitionne également de définir, d’une manière participative, les éléments d’une stratégie de plaidoyer en vue de la mise en œuvre des recommandations.

Les participants débattront de la thématique sous plusieurs angles à savoir : "L’état de l’observation électorale au Maroc : forces et faiblesses, Regards et expériences croisés», «Formations : acquis et améliorations nécessaires", "Recommandations pour le renforcement des opérations d’observation électorale, quelles modalités d’action pour la mise en œuvre des recommandations ?", "Vers un plaidoyer commun pour la mise en œuvre des recommandations".

Plusieurs présentations viendront enrichir le débat. Elles porteront notamment sur "l’observation électorale et la dimension genre", "l’observation de l’accès des personnes en situation de handicap (PESH) aux droits électoraux ", "Jeunes et observation électorale", "L’analyse SWOT des capacités en matière d’observation électorale : un regard national et international ", "Le plaidoyer pour un cadre rénové de l’observation électorale : enseignements des expériences comparées".

Par ailleurs, le CNDH, Le Collectif associatif pour l’observation des élections et le National Democratic Institute (NDI) présenteront, lors de cet événement, leurs expériences respectives dans le domaine de l’observation des échéances électorales.

Le séminaire sera marqué aussi par la présentation d’un guide manuel, élaboré dans le cadre du projet de jumelage, destiné aux formateurs des observateurs électoraux.

La séance d’ouverture du séminaire qui aura lieu le 28 mars 2017 à la Chambre des représentants à 9h, se déroulera en présence de MM Driss El Yazami, Président du CNDH, Abdelhakim Benchamach, Président de la Chambre des Conseillers, Rupert Joy, Ambassadeur de l’Union Européenne du Maroc, Mme Adele Gambaro, Vice-Présidente de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe et M. Jean-Marc Berthon, Conseiller de coopération et d’action culturelle, Ambassade de France à Rabat.  

Récapitulatif

Activité : "L’observation neutre et indépendante des élections", thème d’un séminaire international à Rabat organisé par le CNDH et l’EU

Date et heure : les 28 et 29 mars 2017 à 9h

Lieu : Chambre des représentants (salle 11)

Contact : Direction de la communication (06.62.76.23.27)

Télécharger la note de présentation 

Télécharger le programme 


Observation des élections au Maroc

La loi n° 30-11 fixant les conditions et les modalités de l’observation indépendante et neutre des élections stipule qu’« on entend par l’observation indépendante et neutre des élections, toute opération ayant pour objet le suivi sur le terrain du déroulement des opérations électorales, la collecte objective, impartiale et neutre des données y afférentes et l’évaluation des conditions de leur organisation et de leur déroulement ainsi que du respect des règles constitutionnelles et des textes législatifs et réglementaires régissant les élections et des  normes internationales, et ce à travers des rapports élaborés par les instances concernées, comprenant leurs observations et, éventuellement, leurs recommandations à soumettre aux autorités concernées ».

En outre, la loi n° 30-11 stipule qu’il est créé auprès du Conseil national des droits de l’Homme une commission spéciale d’accréditation des observateurs des élections. Elle est chargée de recevoir, d’examiner et de statuer sur les demandes d’accréditation.

L’observation électorale au Maroc a gagné en termes de qualité, de durabilité et de diversité. En effet, elle a gagné en termes de qualité au regard de l’émergence d’une solide expertise nationale en la matière. La même évolution positive est constatée en termes d’approches, de méthodes et d’outils d’observation (observation statique, observation avec l’échantillon aléatoire représentatif, ….). Aujourd’hui, la communauté nationale des observateurs effectue des missions d’observation générale, d’observation thématique (dimension genre, droits des personnes en situation de handicap, droits politiques des jeunes, suivi des médias, analyse des programmes électoraux, …) ainsi que des missions d’observation d’envergure nationale ou territoriale. Une des forces de cette communauté réside dans son constant renouveau et dans sa capacité de s’ouvrir sur des problématiques nouvelles comme l’observation du financement des campagnes électorales.  L’observation a gagné en durabilité dans le sens l’observation des échéances électorales au Maroc et est devenue un rendez-vous incontournable de la communauté internationale des observateurs. Enfin, le paysage de l’observation a gagné en diversité. Cette diversité ne concerne pas uniquement les approches, les méthodes et les « angles d’analyse » du processus électoral. Elle se mesure par la capacité d’élargir, d’une manière continue, la communauté des observateurs nationaux et internationaux qui s’intéressent aux échéances électorales au Maroc. 

 

 

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